
À lire dans France Football cette semaine, Arsène Wenger (Arsenal) : «Il y a des moments où un manager se sent très seul»
Extrêmement discret dans les médias, Arsène Wenger a accepté de se confier en ce début de saison de Premier League. Une parole rare et chère, qu'il utilise pour alerter la planète football sur ses dérives, et lever le voile sur son métier et son cas personnel. Voici des extraits d'un entretien à lire dans le numéro de France Football actuellement en kiosque.
La peur de la défaite
«Toute défaite est un cauchemar. L’un des handicaps, quand on reste très longtemps dans un club, est que vous portez en vous un incroyable sentiment de culpabilité quand vous perdez un gros match. Et plus longtemps vous restez dans ce club, plus ça devient difficile car vous savez combien les gens seront affectés, vivront un week-end horrible, pleureront peut-être. Quand vous signez un contrat de deux ans, vous vous en fichez un peu, parce que vous ne comprenez pas comment ce club peut signifier autant pour ses fans. Mais plus le temps passe, plus c’est très difficile. Chaque fois, vous vous sentez tellement coupable.»
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Propos recueillis par Philippe Auclair Follow @PhilippeAuclair
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— Nicolas Pré (@NicolasPre) 14 août 2017