
Rétro 2020 : En septembre, Lionel Messi reste au Barça, le PSG perd la tête, 100e but pour Cristiano Ronaldo
Jusqu'au 31 décembre, FF.fr revient, mois par mois, sur les moments qui ont marqué l'année 2020. Neuvième épisode avec le mois de septembre.
Messi jouera... au Barça
Après la bombe lancée par Lionel Messi à la fin du mois d'août, et un burofax envoyé pour indiquer qu'il veut quitter le club, le feuilleton se termine dans la première semaine de septembre. C'est d'abord le papa Messi qui vient à la rescousse. Jorge Messi rencontre Josep Maria Bartomeu mais la position globale ne bouge pas encore : la Pulga veut quitter le Barça. Pourtant, deux jours plus tard, le sextuple Ballon d'Or France Football sort du silence : «J’ai dit à la direction, et en particulier au président, que je voulais partir, tout au long de la saison. Je pensais que c’était le moment, que le club avait besoin de joueurs plus jeunes et je pensais avoir terminé mon cycle ici. Cette saison a été très compliquée pour moi, j’ai beaucoup souffert aux entraînements, sur le terrain et dans le vestiaire. Le président ne faisait pas vraiment attention à ce que je disais. Il m’a dit qu’à la fin de la saison je pourrais décider de m’en aller ou de rester, et finalement il n’a pas tenu parole. J’ai été contraint d’envoyer un recommandé pour officialiser ma décision.» Avant de poursuivre : «Je n’irai jamais en justice contre le club de ma vie, cela ne m’est jamais passé par la tête.»
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Paris perd le nord... puis la tête
Après sa finale de Ligue des champions perdue, des vacances mouvementées à Ibiza et de nombreux cas de Covid-19, le PSG débute sa saison de Ligue 1 le 10 septembre à Lens. Avec Marcin Bulka titulaire dans les buts, et fautif sur l'unique but de la rencontre, mais aussi avec Kays Ruiz-Atil ou encore Arnaud Kalimuendo titulaires, Paris tombe face aux hommes de Franck Haise. Puis perd la tête dans le Classique face à l'OM. Une première défaite dans ce choc de la Ligue 1 en neuf ans et des cartons rouges à la pelle, dont un pour Neymar. Alors que quelques jours plus tard, Angel Di Maria est rattrapé pour un crachat vers Alvaro Gonzalez (ce qui lui vaudra quatre matches de suspension) et que l'incertitude plane au sujet de possibles propos racistes de l'Espagnol envers Neymar (sur lesquels ne débouchera aucune sanction).
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Timothé Crépin