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Sir Alex Ferguson coache la Ballon d'Or Dream Team dans France Football : «Je me demande à qui j'aurais fait tirer les penalties...»

Comment un entraîneur pourrait-il faire jouer la Ballon d'Or Dream Team ? FF a joint Sir Alex Ferguson pour une conversation passionnante à retrouver dans le numéro exceptionnel de FF. Extraits.

D’abord, un coup de téléphone. Puis des échanges par mail pour s’enquérir de la possibilité de faire de Sir Alex Ferguson l’entraîneur de notre Ballon d'Or Dream Team. Et quelques jours plus tard, l’accord de l’ancien manager de Manchester United de répondre à quelques-unes de nos questions et de livrer, pour France Football, une analyse détaillée des onze joueurs qui la composent. Que l’un des trois plus grands techniciens de l’histoire ait choisi de disserter sur notre équipe de rêve est un honneur, d’autant que Sir Alex a vraiment joué le jeu. Il donne sur chacun des protagonistes un avis affirmé, parfois étayé d’une anecdote, et n’hésite pas à se mouiller quand on lui demande qui il nommerait capitaine de cette équipe (on vous laisse deviner) ou quel changement il opérerait : «Pour moi, elle manque d’un autre défenseur central. Le problème, c’est que je ne sais pas qui j’enlèverais pour lui faire de la place (…) Personnellement, j’aurais intégré Daniel Passarella. C’était un joueur fantastique, mobile et agressif, et je crois qu’il aurait parfaitement complémenté Beckenbauer en défense centrale.»

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Barcelone 2011, la plus proche du label Dream Team

Sir Alex revient aussi sur l’éternel grand débat du meilleur joueur du monde, combat permanent entre les anciens (Pelé ou Diego Maradona ?) et les modernes (Lionel Messi ou Cristiano Ronaldo ?). Et quand on lui demande quelle équipe, bien réelle celle-là, était la plus proche du label Dream Team, il déclare : «Celle qui m’a fait la plus grande impression reste le Barcelone que nous avions rencontré à Wembley, avec Manchester United, en finale de la Ligue des champions 2011. Ils étaient injouables.» Le reste est à lire dans France Football, disponible à partir de ce mardi 15 décembre en kiosques ou en version numérique en cliquant ici.

Thierry Marchand